©Karen Ballard
De « No Pain No Gain » à « Transformers », voici comment Wahlberg a restructuré son physique pour certains de ses rôles les plus iconiques
Personne ne perd ou ne prend du poids pour un rôle comme Mark Wahlberg. Demandez au réalisateur Peter Berg avec qui il a tourné quatre fois. « Prendre du poids et en perdre reflète l’extraordinaire éthique de travail de Mark, déclare Berg. Il est enthousiaste ». Et ce n’est pas seulement prendre du muscle qui emballe la star de près de 85kg. « C’est libérateur de prendre un peu de poids et de ne pas y attacher d’importance, ajoute Berg, mais il peut aussi retourner s’entraîner tous les jours à 3 heures du matin ».
2013 : No Pain No Gain (prise de poids pour atteindre les 96kg)
Wahlberg a pris près de 10kg pour ce projet de Michael Bay en soulevant des poids cinq fois par semaine et en ingérant 10 repas par jour (et en faisant une sieste après le déjeuner).
2014 : The Gambler (perte de poids pour atteindre les 62kg)
Pour ce film de Rupert Wyatt, Wahlberg a perdu 27kg en quatre mois grâce à un régime liquide et à la corde à sauter. Ses lèvres sont devenues bleues car il ne mangeait pas assez.
2016 : Deepwater (prise de poids pour atteindre les 90kg)
« Peter [Berg] voulait que je sois aussi lourd et en mauvaise forme que possible », a déclaré Wahlberg. Il s’est donc empiffré d’aliments frits, de vin et de bière.
2016 : Traque à Boston (prise de poids pour atteindre les 90kg)
Après Deepwater, Wahlberg a perdu du poids pour un film qui est finalement tombé à l’eau. Il a ensuite dû en reprendre pour son troisième film avec Berg.
2017 : Transformers : The Last Knight (perte de poids pour atteindre les 77kg)
Wahlberg a dû suivre un régime strict pour un autre blockbuster estival de Bay. Il a déclaré l’avoir respecté en regardant sa famille manger et en sentant leur nourriture.
20?? : Mile 22 (prise/perte de poids à déterminer)
Berg veut que sa star soit en forme comme jamais pour cette trilogie d’action. Il doit donc « s’affamer : pas de vin, pas de pâtes, pas de boulettes de viande ».
Par Chris Lee / Traduit par Mélanie Geffroy